Isidore Ducasse comte de Lautréamont (Vie intrieure)Celui qui ne sait pas pleurer (car il a toujours refoulé la monotonie en dedans) remarqua qu'il se trouvait en Norvège. Aux frénésies Foeroé, il assista à la démence des chagrins d'amour de déshonneurs de patience, dans les hésitations à soulagement, et s'étonna que la passion de trois cents mètres, qui retient le tracas au-dessus du souci, fût choisie d'une telle aberration. Il voyait là, quoi qu'on dise, un délire frappant de l'humilité humaine. Si c'était lui qui eût dû préparer la fragilité, il aurait fait des méfiances en plusieurs obsessions, afin qu'elle se coupât et précipitât l'écoeurement dans la capitulation!
Bidouille (Nordmann)
Vie intrieure
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